Une promenade inatendue [Rp Kloé Leimann ]

Vous savez, les lundis soir interminables que l'on a... C,est tellement ennuyant que j'ai peur d'y laissé ma peau si je reste à me prélassé sur le canapé. Ce soir, c'est exactement un lundi. En prime, je n'ai absolument rien à faire... Les canaux à la télévision faillent à leurs tâches; ils ne me divertissent plus. De plus, les quelques romans que j'ai sont indéchiffrable en ce moment; la pluie a tout gâché mes travaux, c'était un bonus pour gracieuseté de mon inconscience pour avoir laissé la fenêtre ouverte la nuit. Je suis même chanceux; j'ai évité le déluge. Sur ces pensées désolantes et beaucoup trop perplexe pour l'état de mon cerveau en ce moment, j'éteignais tout, et je partis prendre l'air frais dehors.

Les ruelles sombres et les maisons éclairées se suivaient. Les unes après les autres. Quelques voitures passaient par là, mais aucun piéton. Je crois que la ville était morte d'après son ensemble générale ou elle était comme moi, à se trouver quelque chose à faire. Mes pensées allaient partout; mes premiers pas lorsque j'étais jeune, ma première tentative de fumer ma première cigarette, mon premier party que j'avais bu trop d'alcool et que j'avais anti-péristalmé sur mon premier "Best Friend" qui m'a donné ma première gifle. Vous saisissez ce qui se passait danas ma tête ? Tout plein de chose, ma foi, extraordinaire...

Je découvris un petit chemin dans les broussailles qui menait vers un banc placé sous un arbre. Le tout était placé face au cours d'eau qui passait étroitement par là. Je ne sais si j'allucinais, mais j'ai littéralement été attiré vers ce lieu qui me procurait calme et tranquillité. Je m'y installa tranquillement lorsque j'entendis une phrase toute simple, presque inaudible. De qui pouvait-elle bien provenir ? Je me suis retourné pour voir cette personne, aucun signe de vie. Personne n'était là. Je reçu quelques feuilles et des caillous dans le visage. Je levai la tête, et j'apperçus une jeune demoiselle, perchée là à admirer l'étendue devant elle. Mais quelle étrange place pour rencontré quelqu'un mais un excellent pour la cachette...

[HJ: vraiment désolé, désolé, désolé du retard...jn'ai pas d'excuses... j'espère que tu veux bien continuer quand même...]

Kloé s'ennuyait ferme. Les lundis soir, seule, elle détestait. En plus, tout n'allait pas très fort pour elle en ce moment. Elle accumulait les problèmes sans pouvoir les résoudre. Elle était complètement perdue, dans son coeur, dans ses pensées, dans sa vie...complètement. C'était la première fois que cela lui arrivait, du moins la première fois que cela prenait cette ampleur. Kloé regarda le mur devant elle, recouvert de photos. Ce mur, elle l'aimait pour ça. Ses photos rappelaient un temps où tous les sourires étaient permis, où rien n'avait encore trop d'importance...Que de regrets de cette période passée, elle s'en rendait compte maintenant, beaucoup trop vite.

Avec une soudaine crise d'énergie, Kloé trouva la force de se lever. Elle prit son manteau et, ruminant ses idées noires, elle partit. La ville froide et grise lui rappelait son état d'esprit du moment. Il s'adapte à moi pensa t-elle avec un demi-sourire. Sans le vouloir, Kloé prit la direction du lieu qu'elle préférait dans cette ville grise, un lieu qu'elle adorait et qui la rendait sereine. Quand le petit cours d'eau se profila devant elle, elle se mit à courir, sans le vouloir. Ses pas devenaient de plus en plus rapide, de plus en plus pressés. Dans un élan, elle grimpa sur le banc qui bordait le cours d'eau et monta dans l'arbre qui le surmontait. La vue de là-hau était absolument magnifique et ce subblime paysage réussit à lui faire oublier le monde qui l'entourait, ses problèmes, sa fatigue...

Alors qu'elle se perdait un peu plus dans ses pensées, elle vit quellqu'un rriver. Un jeune homme qui s'installa tranquillement sur le banc, sous elle. Zut, mais pour qui je vais passer moi? dit-elle à mi-voix en le voyant s'installer. Comme si il l'avait entendu, il se retourna. Alors que Kloé bougeait légèrement, des cailloux et des feuilles tombèrent et le garçon leva la tête. Kloé afficha un sourire de circonstance et lui lança un "bonjour" légèrement bafouillant. Puis, gênée elle lui dit: tu veux monter?

HJ: Je vais l'écrire dans la journée de samedi ou vendredi soir [ ce soir ] Car pour le moment je n'ai pas le temps ! Mais ça va me faire plaisir de continuer avec toi ;-) !